Le jour où mon blog m’a rappelé à l’ordre



Ce matin, après une nouvelle nuit de merde (ça fait deux nuits !), mon blog m’a appelé sur mon portable : « et oh, ducon, ça sert à quoi d’avoir un nouveau blog si tu n’y vas jamais ».
Ok, ok. Me revoilà pour une brève apparition.  Qui j’espère va satisfaire la curiosité de certains.

En vous espionnant via les statistiques, j’ai l’impression qu’il y en a qui n’ont pas netvibes et qui passent régulièrement pour voir si j’ai été inspiré. Vous avez été malchanceux cette semaine !
Côté statistiques toujours, faudra que le lecteur qui est arrivé via une recherche intitulée « segst » m’explique !
Je comprends mieux comment le gros dégueulasse qui cherchait du cul et qui a tapé « vidéo piscine pinta cana sprint break » y est arrivé. Même si on ne fait pas de sprint dans la piscine mais qu’on y va au printemps ! Et c’est à PUNTA cana pour les alcooliques qui ne pensent qu’aux pintes.

Je ne sais pas si c’est le retour de vacances, le désenchantement du boulot, le changement d’heure mais je n’ai qu’une envie en rentrant chez moi le soir, ne rien foutre puis aller au lit.
Je n’aime pas l’heure d’été. Mon rythme biologique est calé sur l’heure d’hiver. Là, je me réveille de manière trop rapprochée par rapport à mon réveil, donc mon cerveau s’enclenche, je n’arrive pas à me rendormir. Je me rendors 2 min. avant que le réveil ne sonne… Dans l’absolu, il faudrait que je me lève et que je fasse du sport, comme avant mes vacances. Mais j’ai la flemme. Et cet été, ce sera pire, à cause de la chaleur. Je trouve qu’il fait déjà lourd dans mon appart. Je n’ose imaginer cet été.

Je viens de finir un bouquin de Douglas Coupland. Je vous invite à regarder la liste de mes bouquins récents sur votre droite, liste qui s’allonge de semaine en semaine. Si un titre vous intéresse, faite le moi savoir, je vous ferai un résumé !

Le Coupland ne vaut pas plus le coup que ça.
Une tranche de vie de trentenaires se voulant en marge de la société. Critique de la société de consommation. Désenchantement de notre génération. Un ou deux paragraphes vraiment excellents. Le fonds me parle mais je n’ai pas accroché sur le style.

Je viens de commencer Jonathan Coe – Bienvenue au club sur la société anglaise des années 1970. Je n’ai lu que 63 pages, il me reste encore 500 pages mais j’accroche bien.
Ensuite, il ne me restera qu’un bouquin, donc il faudra que je retourne à la FNAC. Et que j’en profite pour acheter le routard sur l’Ecosse pour préparer le voyage du mois de juillet.

Le boulot me gave bien. Donc j’ai balancé mon CV sur le net. Rien ne presse cependant.
D’ailleurs j’ai refusé de passez des entretiens pour un poste. Boite trop petite, certains aspects du poste relou et je gagnerai rien sur le temps de trajet. Etant au début de ma recherche, je peux me permettre d’être sélectif. Je me tâte à discuter avec mon boss, qui est en fait plutôt un collègue et ami que boss, de mon futur et de ma future démission, une fois un processus de recrutement bien avancé ailleurs.

Ce week-end, ophtalmo demain, déjeuner chez mon père dimanche. Il y aura mon frangin, qui passe sur la Région Parisienne ce week-end. Ma sœur et le petit neveu ne peuvent pas venir. Dommage. Il devrait se mettre à parler le petit bonhomme. Rien d’exceptionnel donc au programme. Grosse flemme pour faire le ménage. On verra bien.

Si vous maîtriser l’anglais et que vous voulez sourire, des photos de phrases sympatoches : http://www.fubiz.net/2011/03/30/dear-blank-please-blank/

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Bon, en fait j'écoutais Cypress Hill. Cette chanson, je l'ai écouté le week-end dernier !

2 commentaires:

  1. Je crois que tu n'es pas le seul à souffrir de ce changement d'heure ainsi. Pour ma part c'est nuit de 2h puis nuit de 13h puis nuit... etc. La misère quoi.

    Excellent le truc Dear ... Please ... je suis juste à me pisser de rire !!!

    Allez bonne continuation à toi ! Bientot le WEEK END ! (Ah ah ..)

    RépondreSupprimer
  2. @ Suey : Désolé pour tes nuits. Merci pour ton com.
    Toujours la même misère. Crevé hier matin, incapable d'aller me coucher hier soir, nuit de merde comme d'hab. C'est la vie.
    MM&I

    RépondreSupprimer