Le jour où j’ai fait des moules frites


Rien de bien excitant ce week-end.

Samedi, courses, lessive et repassage et un peu de shopping.
J’avais aussi envie de moules. Du coup, j’ai fait un tour au marché. Et dimanche, j’ai tenté un moules/frites.
J’avais fait seulement une fois des moules frites dans ma vie. J’avais grave galéré car j’avais à l’époque des plaques de camping et pas de casseroles adaptées. Cette fois, j’avais ce qu’il fallait. 6 ans après !

Les moules étaient plutôt petites. Je les ai cependant bien réussi.  J’avais décidé de faire des moules à la crème.
Par contre, faire des moules pour un ou pour cinq, c’est pareil, du coup, ma kitchenette ressemblait un peu au Japon à la fin.
Pour les frites, pas facile de faire des frites sans friteuses (la dernière fois, c’était des frites congelées au four). C’était donc plutôt des pommes de terre sautées en forme de frites et cuites avec beaucoup d’huile. Je viens de me rendre compte que j’avais acheté de la mayo que je n’ai pas touchée ! (Mais j’avais la bonne sauce à la crème).
Tout ça était long à faire mais c’était bon. Pas sur cependant d’en refaire avant longtemps.

Ca me fait penser que je suis plutôt boulimique depuis que je suis rentré de Punta Cana.
Plus d’objectif donc retour des mauvaises habitudes.

Samedi soir, raclette chez un couple d’amis.
Petite soirée, rien de particulier. On a parlé de nos vacances, de leurs futures vacances.

Bref, un week-end calme sous la grisaille avant de reprendre le boulot et les projets pro du moment. Avec une petite sieste cet après-midi.

Au plaisir.

xXx
 
Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :



Le jour où ...

Arrêtez de nous casser les couilles avec Liz Taylor.
Merci.


Beaucoup de boulot depuis mon retour. Et c'est que le début.

Un ancien collègue de m'a boite d'avant m'a recontacté. Je l'aimais beaucoup et j'avais songé à reprendre contact il y a plusieurs mois mais je m'étais découragé. Bonne nouvelle donc. On verra ce que ça donne.

J'aurai déjà peut être deux camarades de road trip scotland dont mon frère. Bonne nouvelle donc !
A suivre.


C'est tout pour ce soir.

Biz.

xXx

Le jour où j’ai fait le bilan de mes vacances


La découverte le jeudi, de notre horaire de retour m’a poussé à me questionner sur le bilan de ces vacances.

Ca m’a aussi permis d’essayer de profiter pleinement de la fin des vacances, une fois remis de la grosse pool party du mercredi et du départ de certains de nos « amis » américains. Au programme, farniente, moins d’alcool, ballade sur la plage, bain de mer… la même chose qu’en début de semaine mais dans une atmosphère différente.

J’aurai aimé trouver des gens avec qui échanger vraiment.
Les américains ont fortement contribués à une bonne ambiance. Sans eux, vu la population de l’hôtel, ces vacances auraient été mortellement ennuyeuses. Mais s’ils avaient été remplacés par une poignée de français sympas, de même âge et milieu que nous ?? Who knows.
L’important est de composer avec ce qu’on a !

Ce qui est sûr c’est que les français présents étaient typiquement français donc insupportable.
De quoi vous motiver à faire une sélection par le prix la prochaine fois ! Surtout, ne pas partir avec les bidochons !

Bon, il y a quand même beaucoup de choses positives. Le programme mentionné précédemment. Et on s’est bien rincé l’œil amusé à observer les américains.

Le cadre est fort sympathique.
Piscine, plage, palmiers…



Le bonheur de ne pas avoir à s’occuper des tâches quotidiennes : ranger, nettoyer, préparer à manger, débarrasser… S’asseoir et qu’on s’occupe de vous.

Ne rien faire limite quand même le plaisir. Mais fait du bien.
Cependant, j’avais beaucoup plus apprécié mes vacances de cet été, chez mon frère, à Toulouse. La découverte des Pyrénées, de ses villages, ma ballade en vélo le long du Canal du Midi… Même si j’étais seul.
Programme riche dans une ambiance détendue, contrairement au « marathon » que nous avions fait dans l’Ouest Américain en juin avec les copains (mais très bons souvenirs, notamment de San Francisco (malgré son climat) et le Yosemite Park).

Je prendrais conscience de mon âge, de ma nature ?
Serait-il temps de passer à autre chose ?
De toute façon, si je démissionne dans les prochaines semaines/prochains mois, il sera difficile de repartir l’an prochain, Punta Cana ou pas.


La question qui se pose maintenant est : où partir cet été ?
Il faut toujours avoir un but !
J’aimerai faire l’Ecosse mais seul, bof, je ne sais pas.
Et ça risque d’être difficile de motiver quelqu’un pour partir avec moi. A suivre !

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j’étais un vieux parmi les jeunes


Le vol fut plutôt long.

Neuf heures sur un vol charter. On critique souvent Air France mais c’est plutôt pas mal en fait ! La dernière heure de vol a été affichée sur les écrans de l’avion avec la trajectoire, la vitesse, l’altitude. Interminable. Durée de vol restante : 1:02. Puis 0:58 puis 0:56…
Au secours, laissez moi sortir.

Le débarquement s’est fait sans problème. Grosse amélioration pour passer la douane.
Toujours une heure de bus pour rejoindre l’hôtel (on s’est arrêté « en route » pour laisser deux touristes dans un autre hôtel).

Notre hôtel était un **** (locales), de qualité plutôt moyenne. Probablement un des premiers construits. Nous étions dans la première tranche, celle d’origine, repérable à des installations (une entrée, un lobby, restaurant, salle de spectacle) différentes de celles principalement utilisées maintenant et plus utilisées à part le restaurant (il y a toujours plein de restau et de bars disséminés un peu partout sur le resort dans les hôtels de RepDom).
Chambre spacieuse cependant.
Comme tous les quatre étoiles de République Dominicaine, la bouffe laisse à désirer. Peu de choix, bouffe identique tous les jours, à tous les repas. Mais on ne vient pas pour la gastronomie.

Le soir, animation mais c’est à chaque fois des spectacles de chant et de danse, sauf le premier soir, questions/défis entre hommes et femmes. Le speaker qui traduit tout en plusieurs langues (anglais, français, allemand en plus de l’espagnol) est vite saoulant.

Du coup, comme il fait nuit tôt et qu’il n’y a pour ainsi dire rien à faire le soir à part squatter soit le Sports Bar, réfrigéré ou le lobby, étouffant, on est au lit de bonne heure. En plus, de la sieste.

Comme l’ambiance du début de ce post le laisse supposer, des vacances de vieux, dans une ambiance de vieux !

Continuons donc dans la même veine ce premier post.
Le soleil est au rendez-vous. Grisaille et pluie de temps à autre les deux premiers jours mais jamais longtemps. Très forte humidité.

Les nuages, quand il y en a, sont quand même un minimum pratique. En effet, le soleil tape fort. Très fort. Tout le monde est écarlate. Moi inclus, par endroits : le nez et les épaules. Le nez parce qu’il est proéminent, les épaules car c’est ce qui dépasse de l’eau, au bar dans la piscine.
La biafine est mon amie.

Cependant, ces vacances, c’est à Punta Cana, là où il y a toujours parfois de l’ambiance.

Avec année après année, de plus en plus de Spring Break à Punta Cana. Ces traditionnelles vacances universitaires entre deux semestres. Et ces excès en tout genre, pour des américains qui bien souvent ont moins de 21 ans et ne peuvent pas boire aux Etats-Unis.

Dans notre hôtel, 3 organisations type UCPA y avaient organisés des séjours.
Des dizaines et des dizaines de jeunes américains. Les groupes des premiers jours se caractérisaient par des mâles sportifs (stéroïdés ?)  et des nanas très mignonnes. Les deux derniers jours, leurs remplaçants étaient « moins ». Les mecs moins costauds et les filles moins mignonnes. Par contre, tous faisaient partis de Sororités ou Fraternités. Tous avaient des pourboires à distribuer plein les maillots de bains.
Et tous se sont lâchés.
Pool Party, Beach Party, soirées en boite à l’extérieur…
Concours de dance sexy, shake your booty contest, body shot (le nombril sert de verre, la bouche distribue le citron), alcool, alcool, alcool et cigarettes à gogo.

Du coup, les non américains de l’hôtel ont fui la plage « principale » et la piscine « principales », devenues territoire américain.
Bon débarras. Les français qui râlent et se plaignent tout le temps, très peu pour nous. Les supporter de temps en temps le matin, avant que les ricains se réveillent et dans l’avion du retour a été bien suffisant. De quoi me motiver à m’expatrier de nouveau.

Et comme on était venus pour la plage, la mer, le soleil, l’alcool et les petits culs, on n’était plutôt bien parmi les américains.
Mais on était français, on était vieux et le ricain reste avec les membres de son groupe (fraternité ou sororité) voire de sa fac mais s’ouvre rarement sur l’extérieur (ou alors pour choper un américain du sexe opposé, une fois qu’il est bien imbibé).
On a quand même sympathisé avec deux américains, de deux groupes différents. Mike de NYC (originaire du Canada tout proche) et Connor de Miami. On a pu pratiqué un peu notre anglais, enfin deux des quatre du groupe, les deux autres n’étant pas très anglais.

Bien sûr, rien que de très superficiel !

Au plaisir.

xXx

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Le jour où mes vacances ont foutu le bordel


J’ai été officiellement en congés le 10 mars au soir.
Je prends 10 jours de vacances et pan, le monde qui n’était pas en grande forme part complètement en couilles !

D’habitude, en vacances, j’allume jamais la télé, je ne me tiens pas informé, je décroche purement et simplement. Notamment car se tenir informé, notamment sur le volet économique, fait parti de mon boulot.
Quand on était à l’aéroport le 12 au matin, il y avait bien sûr eu les dramatiques évènements au Japon et il y avait déjà le risque de fusion nucléaire sur les réacteurs de la centrale de Fukushima.
Ambiance, ambiance.

Du coup, on s’est tenu informé pendant les vacances.
La nuit tombant tôt, il fallait s’occuper entre le début de la nuit et le début de la soirée.
On regardait TV5monde et CNN.
Le vendredi soir, on a vu Envoyé Spécial sur le Japon, Tchernobyl, le nucléaire français.
Une soirée placée sous le signe de la joie et de la bonne humeur.

Alors qu’on avait quand même ça comme paysage quotidien :



Pendant qu’on regardait ça, il y a aussi eu l’entrée de la France en guerre contre la Lybie, au sein d’une coalition bien fragile :



Il fallait bien mieux être à notre place qu’à la place des Japonais ou des Lybiens.

Mais où va le monde ?

J’ai quand même passé de très bonnes vacances.
J’espère que vous avez pu patienter pendant mon absence avec mes petits interludes.

J’ai pris quelques notes, dans l’ambiance du moment, pendant ce séjour au soleil.
On verra si j’arrive à en faire quelques notes.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j'ai récidivé en faisant un deuxième diapo

Encore un petit diaporama en attendant mon retour.
Le semi-marathon de Paris comme si vous y étiez.



Si des personnes se reconnaissent sur une photo et qu'elles ne souhaitent pas apparaître sur ce blog, faites-le moi savoir et la photo sera retirée.

Au plaisir.

xXx

On Holidays - Back about 2011/03/22

Entre un intermède disponible dans deux jours et
je serais alors presque de retour, en pleine forme j'espère.

Enjoy.

xXx

Le jour où j'ai fait mon premier diaporama

Pour vous faire patienter pendant que je me dore la pilule au soleil.

Enjoy ;)



Si des personnes se reconnaissent sur une photo et qu'elles ne souhaitent pas apparaître sur ce blog, faites le mois savoir et la photo sera retirée.

Au plaisir.

xXx

Le jour où j'aurai aimé faire cette vidéo

J'aimerai bien un jour monté un projet comme celui-là.

De retour bientôt.

Au plaisir.

xXx

Le jour où je suis parti en vacances


ON HOLIDAYS.

A cette heure-ci, je dois voir quelque chose de ce style là !

De retour vers le 21 mars 2011.

Je vous ai laissé quelques intermèdes et interludes d'ici là.

Cheers.

xXx

Le jour où j’étais prêt à partir en vacances

News en vrac.

Ca y est.
J’ai bouclé un certain nombre de dossiers au bureau.

I’m now locked and loaded !

Hier, j’ai reçu un mail d’un cabinet de recrutement, via un réseau social professionnel.
J’ai appelé pour voir de quoi il retournait. Bon, apparemment, ce n’est pas le poste du siècle.
J’activerai mes CV un peu partout probablement en rentrant de congés. Je compte être assez exigeant en terme de mission et de rémunération.

Hier soir, j’ai encore fini un bouquin.
Encore un Michael Connelly. Pas mal. Définitivement un de mes auteurs « policier » préféré. J’aime beaucoup ses personnages, notamment Harry Bosch, les aspects psychologiques…

Aujourd’hui, j’ai sorti ma voiture. Faut qu’elle roule un minimum la pauvre. C’est quand même sympa la caisse !

Demain, journée détente avec les copaings. Bon, finalement, je vais encore prendre ma caisse…

Et samedi matin, Rock and Roll baby. Mes valises sont déjà prêtes. Petit repassage ce soir, pour finaliser le tout.

J’aurai des pensées pour vous du fin fond de mon transat, en espérant que vous continuiez à venir me faire coucou pendant mes vacances et à me laisser des commentaires. I like it !

Comme je suis sympa, je vous ai laissé des petites photos/vidéos qui s’uploaderont pendant que je me dorerai la pilule.

J’ai aussi pris un bloc et un stylo. Des fois qu’il me vienne des pensées que je souhaiterai partager. Ou simplement noter mon état d’esprit/humeur par-ci, par-là et vous les faire partager à mon retour.

Bonne soirée.

Au plaisir.

xXx
  
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Le jour où je suis devenu un homme

Gros choc ce soir.
Depuis que j’ai repris un blog, je traîne aussi pas mal sur de nouveaux blogs découverts récemment.
Notamment des blogs de photos de mode ou des blogs de filles (en plus de mes traditionnels blog BD dont certains blogs BD de filles). Tu suis toujours ? Un certain nombre de blogs que j’aime bien en lien à droite de votre écran.
Je continue d’aller aussi sur d’ « anciens » blogs, certains que je fréquente depuis 4/5 ans (le temps passe trop vite).
Ces bloggeurs là me connaissent bien (enfin je crois).
Sur les nouveaux blogs que je fréquente, j’essaie de laisser des commentaires car je connais l’importance et le plaisir d’avoir des commentaires (et puis j’essaie d’attirer le chaland, faut bien se l’avouer aussi).

Et là, c’est le drame.

Sur un blog que j’aime particulièrement, le blog de Roca, pour ne pas le nommer (j’adore cette expression si faux-cul puisqu’on la place juste après la révélation), Roca et ses suiveuses pensaient jusqu’à aujourd’hui, que j’étais une nana !
Aie, la révélation castratrice par excellence.
Et puis, ça veut dire que ces personnes ne sont jamais venues chez moi ou pas récemment puisque j’ai posté des photos de ma silhouette samedi ! Re-claque dans la gueule.
Pour les conseils mode et faire les magasins avec moi, je précise donc pour ceux qui ne le sauraient pas que je suis un mec. Hétéro (enfin les rares fois où j’arrive à choper, sinon, comme j’aime me catégoriser, je suis plutôt autosexuel).

Sinon, mea culpa.
Je me plains de ne pas avoir de commentaires. On m’a fait remarquer que certains d’entre vous n’arrivaient pas à en faire.
Après vérification des paramètres, les commentaires étaient limités. Au temps pour moi, j’ai remédié au paramétrage et j’espère donc recevoir dès maintenant des tas de commentaires, surtout pendant mes vacances !

Vacances qui me paraissent encore si loin.

Après avoir eu un rythme plutôt cool au bureau, tous mes dossiers en cours doivent être finalisés cette semaine.
Je n’ai pas arrêté hier, je n’ai pas arrêté aujourd’hui.
Et jeudi soir je suis en vacances. Vendredi journée avec les potes avant décollage samedi pour la République Dominicaine, ses plages, son soleil, l’eau à 25 dégrés, ses bars…
D’ici là, plein de boulot. J’arriverai jamais à tout boucler avant de partir.
Le retour s’annonce d’ores et déjà Rock&Roll !

Mais bossons d’abord bien mercredi et jeudi et profitons ensuite.

A chaque jour suffit sa peine.

Au plaisir.

xXx

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Le jour où j’ai participé au semi-marathon de Paris

Dimanche j’ai mis ma plus belle écharpe (enfin, la pourrie que j’ai depuis 7 ans), mon bonnet et hop, au semi-marathon de Paris.
23 900 participants quand même. Ca en fait du monde. Assez impressionnant de voir une telle foule mobilisée dans un seul but, finir la course et si possible, finir vite.
Ca court dans tous les sens (enfin dans la même direction quand même, y’a un parcours à respecter) et ça court vite !

J’entends déjà les félicitations chaleureuses de mon public adoré (oui, les deux du fonds qui finissent de somnoler, merci à vous).
Je ne les mérite pas (les félicitations).
Si un de mes collaborateurs a fait les 21.1 km du parcours, je me suis contenté d’aller me peler les miches à Bastille pour shooter quelques photos !

Une heure trente sur place. Dans le froid (ce sera le seul côté « héroique » de ma matinée).
A prendre quelques coureurs parmi la foule. Les premiers. Quelques coureurs costumés, des visages ou silhouettes anonymes, concentrée ou au contraire très décontractées, des coureurs faciles et d’autres à la limite.
Tous des courageux en tout cas. Bravo à eux.



Pour me remettre du froid, surtout aux mains (pas facile de faire des photos avec des moufles), petit wok poisson/légumes/pâtes/sauce soja.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j’ai traqué les « people »

Samedi, je suis donc retourné à la fashion week (pour l’épisode 1, c’est par ici).
Je ne me suis pas emmerdé à faire compliqué, je suis retourné Place de la Concorde.

Ambiance très différente du vendredi après-midi.
Déjà, l’entrée du show était directement Place de la Concorde.
Donc pas d’espace pour une foule plutôt compacte !
Avec en prime des « limousines » qui avançaient directement dans l’allée et des attroupements qui se formaient autour des véhicules pour prendre en photo les pseudo VIP qui en sortaient.


© Tous droits réservés

L’ambiance était beaucoup moins détendue et bon enfant qu’hier. Moins mode, plus people.
Les touristes ou les parisiens qui passaient par là avaient du mal à comprendre ce qui se passait.

Un peu à l’écart traînait les anonymes en quête de notoriété au travers de leur fringue, les « hommes-femmes sandwichs » qui vantaient les mérites de tel ou tel magazine ou boisson, certaines starlettes en manque de notoriété (assez pathétique je trouve) ou encore Mademoiselle Agnès qui téléphonait.

Lors d’une cohue due à une limousine, on a été nombreux à halluciner.
Kanye West s’est pointé à pieds avec Anna Dello Russo pendant que l’attention était focalisée sur la limo. C’est là aussi que j’ai croisé le Sartorialist himself, qui s’est présenté afin que nos deux stars s’arrêtent un instant, avant d’être happés par la cohue.


© Tous droits réservés

J’ai encore croisé Emmanuelle Alt, qui est arrivée à pieds par les Tuileries.

A la sortie du show, on a eu droit au photoshooting de Izia, Zoé Felix et Delphine Chauliac, Kanye West ainsi que des mannequins qui avaient l’air connues (quand je vous dis que j’y connais rien à la mode).

Une fois tout le monde à peu près parti, j’ai mis les voiles.

Voilà, je peux maintenant dire que je connais l’ambiance de la Fashion Week Paris !
De là à dire que je ferais ça tous les week-ends…

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

PS :

Si des personnes se reconnaissent sur une photo et qu'elles ne souhaitent pas apparaître sur ce blog, faites-le moi savoir et la photo sera retirée.

Le jour où j’ai parcouru Paris en long en large et en travers

Comme j’avais bien chopé mal à la gorge hier, j’ai bien passé une nuit de merde. Pas mal rêvé mode et personnalités du milieu de la mode.
Levé tôt donc.

Aujourd’hui, j’ai pris soin de moi.
Coiffeur pour commencer. Comme ça, j’étais beau comme tout pour le reste de la journée et en prévision de mes vacances.
J’ai aussi fait les boutiques. Je suis passé devant plein de boutiques, je suis rentré dans quelques unes.

J’ai flâné dans le marais, je me suis promené dans le VIe (L’église place St Sulplice est magnifique, je connaissais pas). J’ai fait le touriste au milieu des touristes. Il y en avait partout, surtout dans la matinée. Tous les parisiens dormaient encore ?

J’ai acheté quelques fringues chez Esprit. Plein de trucs qui me plaisait. Tout ne m’allait pas et ils n’avaient plus une jolie veste en cuir. C’est ma carte bleue qui a été contente.
J’ai pris un T-shirt moulant pour mettre ma silhouette en avant pendant les soirées au soleil !
Pas sûr d’avoir toujours pris les bonnes tailles. Donc ma demande de coaching modistique tient toujours !

Je suis rentré déjeuner chez moi pour souffler un peu. Des œufs pochés parfaitement réussis pour déjeuner rapidement !
Je suis ressorti pour profiter du beau temps.
J’ai remis mon écharpe, celle qui j’espère, m’a permis de ne pas aggraver ma crève avec ce froid.
Un petit pull sympatoche, une paire de lunette de soleil sur la tête et andiamo pour la fashion week day 2 !Un style un peu plus classe qu’hier.



Je suis resté une heure et demi Place de la Concorde à déambuler.
J’espère avoir quelques photos sympas.

J’ai tenté de rentrer en métro mais c’était nimp’.
Du coup, j’ai de nouveau marché. La Concorde – Hôtel de ville !
Ca m’a permis de finir tranquilou cette agréable journée et de constater qu’il n’y avait pas que sur la ligne 1 que c’était chargé. Mais bon, c’est traditionnel que ce soit le bordel rue de Rivoli.

Avec toutes ces marches, je suis un peu kaputt. J’espère que ça me permettra au moins de dormir correctement !

Bonne soirée.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j’ai été à la Fashion Week Paris

Aujourd’hui, gros évènement au bureau.
Du coup, hop, j’étais sur mon 31. Chemise et boutons de manchette, cravate, costume.
La classe j’avais !
Après le déjeuner (bien bouffé ma fois), quelques mails et hop, rentrage à la maison pour profiter du beau temps.
Arrivé chez moi, j’ai failli me prendre en photo pour vous montrer comment que j’étais beau comme un camion volé tout neuf.
Mais je n’avais pas le temps.
Quoi, tu n’es pas au courant ???
En ce moment, c’est la Paris Fashion Week !
Et puis je tente de limiter mon côté exhibitionniste.

Du coup, je suis reparti avec mon appareil photo dans mon magnifique sac à dos dédié !
Je me suis aussi changé, je ne voulais pas faire de l’ombre aux créateurs et autres éditrices de mode. J’ai mis ma plus belle veste à capuche adada, mes magnifiques stan smisme et vamos.

En parcourant différents blogs modes trouvés chez Roca, comme The Sartorialist ou Jak and Jill, j’avais cru comprendre que pendant la fashion week, le jardin des tuileries, c’était the place to be.
Je suis rapidement passé devant. En effet, quelques structures temporaires et quelques personnes alentour. Pas de quoi en faire un fromage.

Je suis donc finalement allé me balader pour profiter du beau temps et faire quelques boutiques.
Je cherche une casquette simpatoche pour mes vacances. Un pote m’en avait recommandé une, je lui allé l’essayer mais je n’ai pas aimé le rendu sur ma tronche.
Du coup, juste ballade et pas d’achat. Surtout que je voulais aller chez Esprit, mais ils ont fermé la boutique des Champs.

Sur le chemin du retour, par acquis de conscience, je suis repasser aux tuileries.
En entrant dans les tuileries au lieu d’y sortir, je me suis rendu compte que côté Seine, il y avait plusieurs structures temporaires.
Et des « paparazzi » partout. Un nombre hallucinant de photographes amateurs, groupies, photographes professionnels, équipes de télé, des équipes faisant de la pub pour des magazines féminins, des parisiens qui font leur jogging, des parisiens qui vivent leur vie, des touristes, tout une faune.
J’avais, à la lecture de différents blogs, cru comprendre qu’il y avait des fans, d’Asie notamment, qui suivait les défilés à l’extérieur, mais j’étais loin de me douter de la masse de gens attirés par le simple passage de gens du milieu de la mode.

Du coup, curieux, je suis resté. Malgré le froid.
J’ai halluciné sur la matos des amateurs. Ils ont tous des supers appareils, superbes objectifs. Bon, s’ils sont fans, ça doit se justifier car mon matos était carrément juste. Pas prévu pour faire ce type de photos.
J’ai halluciné sur le fait que nombre de photographes amateurs se sapent comme des milords ou miladys et du coup, font partie intégrante du show, en devenant eux-mêmes modèles.
J’ai halluciné sur le fait que les gens connus ou inconnus se laissent interpeller pour poser, répondent sur ce qu’ils portent à des fans qui retranscrivent tout.
Grâce à la fréquentation des blogs sus-mentionnés, j’ai pu croiser des têtes connues, comme Anna Dello Russo, Mr Rabensteiner, Emmanuelle Alt, et plein d’autres visages vus ici ou là.
J’ai eu une pensée pour Roca en voyant des slims en cuir rouge ou tout du moins des slims rouges.
J’ai fait comme tout le monde, j’ai joué aux paparazzis, j’ai tenté de prendre en photos des gens connus dans le milieux de la mode, quelques modèles (je ne les connais pas mais il suffisait de suivre les attroupements et les flashs), des photographes amateurs ou simplement des gens stylés…
Je ne me suis pas fait chié, j’ai mis en mode portrait et j’ai mitraillé. Avec plus ou moins de bonheur. En effet, la nuit tombe tôt et la luminosité n’était donc pas du tout celle rêvée pour prendre des photos à la volée.
J’ai mis les voiles au bout de trois quart d’heure, une fois que j’étais sûr d’avoir des photos de merde et d’avoir fini de prendre froid.

Pour me remettre de mes émotions, une petite salade endive/tomates/dos de cabillaud glacé à la sauce soja. Miam.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j'ai tout pété chez moi

Ce matin, levé tôt après une nuit de merde.
Hop, un peu de sport.
Et là, c'est le drame.
7:00 du mat', je range le vélo d'appartement et boum !! Un grand coup dans la bibliothèque sur laquelle sont posés les cadres de mes dernières vacances.
Adieu les cadres et les photos.

Sinon, rien de particulier.
Boulot, boulot. Et courses ce soir.
How exciting.

Au plaisir.

xXx

Le jour où je commençais à préparer mes vacances

Hier, je n’étais pas bien du tout. D’où ma grève du post. Et puis comme je n’ai pas des hordes de fidèles lecteurs qui m’assaillent de commentaires enflammés, de déclaration d’amour… je n’ai pas lésé grand monde.
Spéciale kasdédi à mes 3 fidèles lecteurs.

Aujourd’hui, ça a été mieux.
Hier, couché très tôt. Du coup, traditionnel premier réveil à 1 :40 !
Levé 6 :40 et hop, 20 min. de vélo d’appart.
Aujourd’hui ça a été nickel chrome.
Après plusieurs jours de glande, j’ai bossé toute la journée. Et pas de coup de barre.

J’ai reçu les papiers de convocations pour les vacances. Elle est pas belle la vie ?
J-10 !
Je songe déjà à ma valise.
Samedi, coiffeur pour tenter de mettre un peu d’ordre dans une coupe de merde.
Le coiffeur a fait nimp la dernière fois et j’ai fait nimp par-dessus (ne jamais mais jamais acheter une tondeuse, ça n’amène que des merdes). Mon nouveau coiffeur va donc halluciner.

J’ai terminé un bouquin de plus (que j’avais déjà lu, je m’en suis rendu compte au bout de 3 pages mais je ne me souvenais plus de tous les détails et je voulais me le remémorer au cas où je l’avais déjà lu, car j’ai acheté la suite. Moi et ma mémoire de merde… Et tu peux voir que je me connais quand même bien car quelque part, j’avais l’impression de l’avoir lu (rapport à se le remémorer).

Hier midi j’ai changé la pile et le bracelet de ma montre, acheté du parfum pour sentir bon.
Et oui, jusqu’à aujourd’hui, je ne mettais ni déo, ni parfum. Naaaann, je déconne. C’est juste que j’arrivai à la fin de la bouteille. J’ai changé de parfum. Pour amener un peu de changement.
Pas sûr d’avoir fait le bon choix.
J’ai fait les boutiques aussi. J’ai vu des trucs sympas chez Esprit. A creuser. Vu aussi un ou deux trucs sympas chez Hugo Boss mais ce n’est pas vraiment les mêmes prix. Mais aux soldes d’été, va bien falloir que je me rachète un costard. Rapport à mon post d’avant-hier sur mon slip !!

Je continue toujours mon régime… Qui, aussi bizarre que cela puisse être, à l’air de fonctionner. Pas de frites depuis 15 jours, moins de fromage et de charcut’, un peu moins de gâteaux apéro, même quantité d’alcool et hop, du gras en moins. La classe. Quand je vous dis que Dame Nature, cette salope, a parfois bien fait les choses (Dame Nature m’a quand même donné une gueule de merde).
Beau comme un camion tout neuf que je vais être pour les vacances.
Comment ça, ça ne suffira pour tomber les gonzesses !? Ah, parce qu’il faut leur parler en plus !!!

Vous l’aurez compris, je suis déjà en mode vacances.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j'avais pas la frite

Bonsoir,

en raison d'une très petite forme, l'auteur n'est pas en mesure de faire un billet ce soir.
L'auteur a bien cru qu'il allait tomber dans les pommes au bureau (après le crackage de futal, ça l'aurait fait !).
Bon, 24,5°C dans le bureau, ça aide pas non plus.
Une nuit courte après un week-end de débauche, encore moins.

A bientôt.

xXx