Le jour où j’ai craqué mon slip (ou presque !)

Attention, post « vis ma vie de merde » ou plutôt « regarde comment je peux avoir une vie ridicule ».  
Spéciale kasdédi à Roca. Roca, tu n’es plus seule !

Je pourrai vous raconter comment je suis tombé amoureux d’une stripteaseuse mais vous ne me croiriez pas :) Ou alors, j’ai mis ça pour booster mes stats !

Ce matin,  pour aller bosser, hop, j’ai mis un costume.  Sans cravate, on n’est pas des bêtes.
Bon, vendredi, il faudra que je passe en mode cravate pour des gens importants lors d’une réunion importante et ça ne pourra pas me faire de mal dans l’optique de passer prochainement des entretiens d’embauche.
Depuis plusieurs semaines, j’avais tendance à faire l’impasse sur le costard et aller bosser plutôt en pantalon/chemise/pull. Y’a pas à dire, c’est beaucoup moins classe.
J’étais beau comme un camion ce matin (à part la gueule de travers et le costard un peu chiffonné. Il aurait eu besoin de rejoindre un pantalon que j’ai mis au pressing ce week-end).

La pile de ma montre ayant lâché hier (c’était un signe pour que j’achète une très jolie montre), j’avais décidé d’aller faire des courses ce soir, pour remplacer le bracelet et la pile et en profiter pour faire les magasins et aiguiser mon nouveau sens de la mode.

J’ai changé mes plans.

Ce midi, j’ai mangé avec un de mes collaborateurs, qui fût prêt à aller déjeuner une fois que le train pour la cafét’ fût passé (au sens figuré). Oui, je parle bien la France parfois.

En revenant de déjeuner, arrivé devant mon bureau, je laisse tomber un sucre que nous n’avions pas utilisé à la cafét’ en prenant notre café (je n’aime pas jeter et comme on a une machine à café à l’étage, ça permet de ne pas gâcher).
Voulant le ramasser, je me penche et là, c’est le drame.

Craaaaaaaaaaqqqqquuuuueeeeee !

Imagine ton chef ou un cadre moyen avec quelques responsabilités, si tu ne bosses pas au siège d’un entreprise de taille conséquente (oui, je me la pète) qui a littéralement craqué son benne dans le couloir de son bureau !

Quand je te dis que j’ai pris du poids et que je n’ai aucun sens de la mode.
Même pas foutu d’acheter un costard de qualité ! Un costard qui avait deux ans, qui n’a pas servi des masses, censé être de qualité puisque pas trop donné alors qu’en solde…
Oui, je me suis fait arnaqué. Surtout si j’ajoute que j’ai craqué un costard de la même marque il y a 6 mois (heureusement avant de partir de chez moi).

Mon craquage est apparemment passé assez inaperçu. Mon collaborateur pensait que je m’étais fait mal.
Je me suis précipité dans mon bureau, j’ai bidouillé un peu et je suis allé dans les toilettes pour handicapés avec une magnifique agrafeuse.
Et hop, rafistolage ! Trop stylé le mec. Je viens de lancer une nouvelle tendance.
J’ai bien sûr gardé ma veste tout l’après-midi pour masquer un peu l’horreur.
J’ai discrètement mis un cahier sur mon cul en me déplaçant dans les couloirs.

Imagine la scène si c’était arrivé vendredi, lors du gros évènement de ma boite !

J’espère que pas grand monde ne s’est aperçu de mes malheurs.
Autant te dire que je suis rentré directement chez moi après ça !

Voici une photo de devant, où on ne voit rien du désastre, discret le problème :



Oui, tu vas me dire qu’à l’oeil nu, planqué derrière ma veste, je n’ai pas des masses d’embonpoint.
Arrête, tu ne peux rien voir !
Et puis je l’avais concédé dans un précédent post.
L’important c’est de diminuer les graisses ingurgitées, sous forme de frites notamment.
Bon, hier soir, traditionnel craquage du dimanche (faut se préparer à la semaine) : un paquet de gâteaux apéro et un grand paquet d’apéricubes en plus du repas ! Mais j’avais fait du sport ! Un peu de vélo d’appart.

Je n’ai pas tenté la photo de dos, ça m’aurait empêché de dormir.
Et puis en rentrant chez moi, j’avais fait sauter quelques agrafes.

L’ampleur du désastre posé sur mon lit :


 L’ampleur réelle du désastre :


OMG.

Donnez lui une augmentation pour qu’il puisse se payer des fringues !

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où je me suis aperçu que je n’étais pas vraiment comme tout le monde

Après ce titre accrocheur, vous vous attendez à des révélations fracassantes !
Je pourrai en faire. J’en ai déjà fait (ailleurs).
Mais je vais rester simple.

En quoi suis-je différent ?

Roulement de tambour…
Au niveau du sommeil ! (entre autres).
Ca y est mon dernier lecteur du fonds a mis les voiles.

Déjà, depuis 3 ans, je suis incapable de dormir sans bouchons en cire dans les oreilles. Et avant, je dormais mal car je suis assez sensible au bruit la nuit.

Je dors aussi assez mal. Pas que je sois insomniaque. Je n’ai aucun problème pour m’endormir, je m’endors dans les 30 secondes une fois que je suis couché. Un des rares points positifs qu’il me reste de mon sommeil d’enfant/ado.
Avant je dormais 10-11 heures par nuit du sommeil du juste.
Je me couchais très tôt, je me levais tôt, je dormais d’une traite.

Avec les soucis de la vie professionnelle et adulte, j’ai de plus en plus mal dormi. J’ai dormi 10 heures puis 9 heures puis 8 et pour le moment j’en suis à 7. Quand je vois ma sœur aînée ou mon père, je me dis que ce n’est pas fini.
La conséquence d’un vie d’adulte immature,  angoissé de la vie. Une vie d’adulte seul, jugé par son milieu social, subissant les pressions de mère nature pour se reproduire mais aimant sa liberté (être glandeur, c’est un choix délibéré (ou un manque de personnalité diront certains, qui n’auront probablement pas tort. Comme toujours la vérité est sûrement entre les deux)).
Du coup, si je m’endors immédiatement, je me réveille plusieurs fois dans la nuit. Et souvent, au bout de 7 heures, mon cerveau se met en route et là, impossibilité de se rendormir.

Ainsi, hier, je me suis couché tôt, 22 :00, car je m’endormais devant une série télé après une dure soirée la veille avec un coucher à 6 :30 et une nuit de quatre heures trente.
Cette nuit donc, premier micro-réveil à 1 :40, puis plusieurs autres micro-reveils pour finalement me réveiller totalement à 6 :30. Levé 7 :00. Prêt à entamer une nouvelle semaine. Ah merde, c’est dimanche.
Je suis plutôt en forme.
Ce qui est difficile à comprendre, c’est que si mes nuits ressemblent souvent à celle-là, parfois je suis en forme, parfois non.
En général, dans la semaine, premier réveil à 4 :30, plusieurs micro-réveils pour se réveiller un peu avant le réveil à 7 :00.  Ah si, une différence notable. C’est souvent les sommeils de 10 min. qui sont très fatiguant (souvent entre 6 :00 et 7 :00).

Vous me direz, trouve toi une femme, fais lui l’amour tous les soirs, tu dormira du sommeil du juste.
Erreur !
Comme je vous l’ai dit, je ne suis pas monsieur tout le monde.
La nature, la physiologie ou que sais-je a fait que je suis aussi branché à l’envers de ce côté-là.

Au plaisir.

xXx

Pendant la rédaction de ce post, l’auteur écoutait :

Le jour où j'ai réitéré les nuits parisiennes et ma liste au père noel

Hier soir, je suis rentré crevé du boulot. Je n'ai pourtant pas foutu grand chose.
Cependant, un pote expatrié était de passage sur Paris.
Du coup, grosse soirée.
Je suis trop vieux pour ces conneries.
Pourtant, j'ai dormi que 4 heures et bizarrement je gère.
Bon, je suis quand même rentré chez moi à 20:15 après le match Angleterre-France (2 mauvaises équipes, surtout la France).
On verra à quelle heure le sommeil aura raison de moi.

Sinon, je réitère ma liste au père noel.
Je cherche à faire de nouvelles connaissances, quelqu'un qui me montrerait des endroits sympas de la capitale pour sortir, manger, faire du shopping et m'éveiller à la mode, la vraie.
Fais moi signe !

Au plaisir.

xXx

Le jour où j’ai été intégré

!!Attention, post engagé sur des sujets pas toujours faciles !!

Il y a des jours où je me dis que tout est lié.

Dans 15 jours, départ pour des vacances « all inclusive » (comprendre open bar).

Sortie ce jour du trailer de The Hangover II :



Le film sort pour le Memorial Day aux US. Je ne connais pas la date de sortie en France.

Je suis donc un brin branché fête et alcool présentement.

!!Attention, minute culturelle avant propos engagé, comme ça, même si vous n’êtes pas d’accord avec moi, vous n’aurez pas tout perdu !!

« Cette appellation ne fut officialisée qu'en 1967. En 1971, le Président Richard Nixon déclara la date du dernier lundi de mai comme jour férié. Les services religieux de cette cérémonie comprennent la lecture des noms des soldats morts en service durant l'année précédente.
Chaque année, le président américain se rend au cimetière d'Arlington, dans la banlieue de Washington DC et des défilés sont organisés dans tout le pays. Le Memorial Day marque le début de la saison estivale aux États-Unis. », Wikipedia.


Et là, c’est le drame.
Hier, une collègue est revenue d’une semaine aux assisses où elle a été juré dans deux affaires de viol. Elle est revenue un peu secouée. On le serait probablement à moins.

Et hier soir, on a eu droit à une sortie de Valérie Pécresse.
[Valérie Pécresse a annoncé ce jeudi plusieurs mesures visant à éviter, dès la rentrée 2011, les dérapages habituels de ce genre de soirées [ndlr : i,e les soirée étudiantes]. Sera notamment rendue obligatoire la déclaration préalable en préfecture.
Humiliations, comas éthyliques, accidents de voiture, viols... et même décès. Les dérapages lors des week-ends d'intégration (communément appelés "bizutage") sont courants depuis des décennies et régulièrement condamnés. En vain. Après avoir pris des mesures d'urgence à la rentrée dernière à la suite d'accidents graves, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche avait demandé un recensement des pratiques d'intégration aux préfets et recteurs et confié à Martine Daoust, recteur de l'académie de Poitiers, une mission sur "les soirées étudiantes et week-ends d'intégration". Cette dernière a rendu son rapport ce jeudi. (...)Valérie Pécresse a largement repris les préconisations du rapport Daoust dans les mesures annoncées jeudi qui doivent entrer en application dès la prochaine rentrée universitaire. Il s'agit de "renforcer notre dispositif de prévention et de lutte contre les dérives liées à ces manifestations étudiantes", a indiqué la ministre. La mesure la plus importante est de rendre obligatoire la déclaration en préfecture ou en mairie de ces soirées par les organisateurs], La tribune, 24/02/2011

En tant qu’ancien de prépa et ancien d’école, mais aussi en tant qu’être humain (les deux ne sont pas incompatibles J), j’ai envie de réagir.

Oui, la prévention et l’explication des conséquences de la prise d’alcool sont de bonnes initiatives. La consommation de drogue (oui, l’alcool devrait être assimilé à une drogue mais çà n’arrangerait pas les caisses de l’Etat) doit se faire en comprenant les conséquences sur la santé de chacun. Comme ça, les gens ne pourront plus faire les innocents et les saintes nitouches. « Oh, je ne savais pas que c’était mauvais. ». Personnellement, je connais les conséquences mais ça ne m’empêche pas de boire régulièrement. 
Mourir de ça ou d’autres choses. Il y a tellement de personnes qui font très attention à leur santé qui chopent des saloperies de cancer et autres maladies dégénératives et d’autres qui ont une vie de débauche et qui meurent pépère à 85 ans...

Oui, il faut empêcher et condamner le viol, un des actes les pires qui soit.
A la cruauté du viol vient ensuite souvent l’humiliation du procès où chaque seconde de la scène est décortiquée, chaque acte de la victime avant et pendant l’acte est disséqué. C’est notamment cela qui a pas mal marqué la collègue qui était aux assises cette semaine. En plus de la glauquitude de la chose.

Mais prendre des actes isolés (enfin je l’espère) ou du moins ne sortant malheureusement pas de l’ordinaire et faire de la démagogie politicienne je trouve ça très naze.Ce genre de stigmatisation d'une catégorie de personnes ou d'une couche de la population peut être rapproché, dans une moindre mesure, à ce qui se passe avec le débat sur l'identité nationale ou celui sur l'islam.

D’une manière générale, j’ai l’impression que depuis 15-20 ans, on a fait de grands progrès en ce qui concerne le bizutage.
Personnellement, que ce soit en prépa ou au week-end d’intégration, il n’y a pas eu d’humiliation. Certaines écoles sont encore un peu dures, telles les beaux arts ou médecine avec un « bizutage » qui durent plusieurs jours ou plusieurs semaines, mais si débordements il y a, des lois existent déjà pour cela.
Concernant les écoles de commerce, j’ai pas mal de mes amis/connaissances qui en ont fait et aucun n’a fait état d’actes répréhensibles ou de situations autres que celles que l’on peut trouver dans n’importe quelle boite, en féria ou autres soirées à Ibiza.

Pendant ma prépa, on a fait une bataille d’oeuf/huile, mousse à raser, farine... Les bizuths avaient autant de munitions que les anciens pour se défendre. On avait le choix d’y aller ou pas. Et il n’y avait pas d’alcool. Sont ensuite venues quelques soirées où on allait dans les soirées de grandes écoles en boite, avec les mêmes comportements que dans n’importe quel bar de vacances ou boite.

Je ne pense pas qu’on puisse parler de bizutage pour les week-ends d’intégration. Déjà, c’est un acte volontaire (comme mon bizutage en prépa) puisqu’il faut s’inscrire et payer le voyage. En début d’année scolaire, à la suite du week-end, sont crées les groupes de travail et quand on fait connaissance, on ne demande pas au gens si oui ou non ils ont fait l’intégration pour ensuite les discriminer.

Pour ce qui se passe pendant le week-end d’intégration, là encore, pendant mon week-end, personne n’a été forcé de boire. Certes l’alcool est « à volonté », des anciens passent avec de l’alcool mais les gens sont libres de leur choix et « à volonté » au sens premier signifie que l’on peut ou non consommer.
Les gens en moyenne, même si l’alcool est libre, ne boivent pas au cours de la soirée beaucoup plus que les adultes actifs dans les bars et les boites de la région parisienne.

Pour éviter la démagogie et prouver le bien fondé d’une telle démarche, j’aimerai que Valérie Pécresse donne les chiffres moyens des comas éthyliques, accidents de voiture liés à l’alcool, viols en France au cours d’un week-end. Il faudrait ramener ce chiffre aux chiffres liés aux week-ends d’intégration ramené à une période de temps comparable (ça y est, j’ai perdu mes 3 lecteurs).
Et alors, si les chiffres sont très différents, l’initiative peut être justifiée au nom de la santé et de l’ordre public. Mais s’il est proche ou inférieur, c’est purement de la politique politicienne.
Et de toute façon, une inscription en mairie ou en préfecture n’y changera rien sauf à ce qu’il y est des directives pour limiter ce genre d’évènement.
Mais alors s’il n’y a pas plus d’écarts que la moyenne nationale, alors il faut baisser le nombre de discothèques, limiter les ferias, interdire les pubs pour les ventes d’alcool, pub qui ont fait leur retour (cohérence gouvernementale quand tu nous tiens)...

Et si les week-ends d’intégration sont interdits, les jeunes iront faire la fête en boite ce qui ne changera rien. On a essayé de limiter la consommation de cigarettes et celle-ci se maintient quelque soit le prix du paquet. Je pense que pour l’alcool, c’est pareil.
Même s’il faut payer plus cher pour boire, les jeunes et les moins jeunes continueront de consommer de l’alcool, pour se désinhiber, parce que l’alcool peut être festif, parce qu’un verre de vin avec un morceau de fromage, c’est franchement pas mal.

Pour revenir aux viols, oui, l’alcool favorise probablement le passage à l’acte et les victimes, du fait de leur état alcoolisé, sont probablement moins à même de résister à leur agresseur.
Encore une fois, les viols existent malheureusement partout et dans toutes les couches de la société. Et la plupart des violeurs passeraient in fine probablement à l’action, même sans alcool. On est un détraqué ou on ne l’est pas. L’alcool ne justifie rien.

L’être humain doit être à même de se dominer ou de subir les conséquences de ces actes.

Ce sera ma conclusion.


Au plaisir.

xXx


Pendant la rédaction de ce post, l’auteur est tombé sur :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=VA770wpLX-Q

Le jour où j’ai complété ma liste au Père Noel

Pff, je suis crevé.
Mon sommeil n’est pas assez réparateur. Même si hier, je me suis couché tôt et que j’ai plutôt mieux dormi que les nuits précédentes.

Des effets secondaires de mon pseudo régime ? Probablement pas.
J’ai quand même l’impression que je ne perds pas un gramme.
Et je ne peux pas vérifier, je n’ai jamais eu de balance.
A l’oeil nu, par contre, mes petites poignets d’amour restent bien à leur place. Je pourrais me contenter de les laisser là mais elles ne servent à rien, je n’ai personne qui voudrait s’y accrocher.

Ces dernières semaines, j’ai fait le tri dans mes photos pour me faire un album famille, un album potes et un album « paysages ». Et j’ai vu ma tronche et mon « corps » changer ces dernières années (« ton corps change, c’est normal, il ne faut pas avoir honte »...).
Ca fait bien longtemps que je n’ai plus la ligne de mes 20 ans. Comment, je n’ai plus 20 ans ?! Ah ouais, ceci explique cela. Cependant, je suis quand même dans la catégorie « normale » limite « mince » (à l’exception de mon postérieur qui dépasse, mis en valeur par une certaine cambrure (serai-je né femme ?)).
Et dire que mon « régime » actuel est light, même si je passe une partie de la journée à avoir faim.
Il faudrait que je complète l’arrêt des frites et de la junk food par un peu de sport.
Et que je me surveille plus le week-end. Je compense probablement mes efforts de la semaine par mes excès du week-end. Bon, ça ne peut pas me faire de mal même s’il n’y a aucun résultat. Mes artères me remercieront peut être d’avoir moins de graisse à gérer.

Pour le sport, c’est une spirale infernale. Je dors mal parce que je ne fais pas de sport, je suis crevé donc je n’ai pas le courage de faire du sport donc je dors mal...

La fatigue doit aussi venir du fait de décompresser un peu au boulot, ambiance congés scolaires obligent (même si la semaine prochaine et jusqu’à mes vacances, ça va être un peu sport côté boulot).
Je pense d’ailleurs de plus en plus à mes vacances. J’aimerai qu’elles ne soient pas identiques aux précédentes à savoir matage de ptit culs et alcool.
Pour les ptits culs, je ne suis pas contre. Le problème, c’est qu’avec les potes, on est incapable d’engager une conversation.
Pour l’alcool, j’aimerai être assez fort psychologiquement pour diminuer les doses mais y’a toujours un pote ou deux pour enfoncer le clou et faire remarquer que dans le groupe, il y en a un qui se « rate ».
J’aimerai aussi prendre mon reflex pour faire quelques jolies photos de la plage, la mer...
J’aimerai prendre quelques bouquins pour la sieste.

J’aimerai, j’aimerai, j’aimerai.

J’aimerai avoir plus de lecteurs,  j’aimerai avoir plus de commentaires.

J’aimerai faire des choses pour moi et non en fonction des autres.
J’aimerai avoir le courage de faire plus de photos.
J’aimerai avoir le courage de prendre des gens en photo (peur de me faire péter la gueule, je ne sais pas s’il faut simplement shooter, parler aux gens...). Même si je crois que je n’aime pas les gens.

J’aimerai faire plus d’efforts côté fringues.
Grâce au blog de Roca (je suis fan), je suis tombé sur le blog de JackandJill sur  le monde de la mode. Love it !
J’aimerai aussi faire ce style de photo.
J’aimerai m’habiller un peu stylé. J’aimerai avoir le corps et le look des mannequins (hommes) sur les photos.
Si quelqu’un veut se proposer pour jouer à relooking extrême avec moa !

C’est dans combien de temps Noel ?

Au plaisir.

xXx

PS : pendant la rédaction, votre cher serviteur écoutait Eminem

Le jour où je suis retourné au cinéma

Samedi dernier, magnifique journée de pluie sur Paris.
Le matin, j’ai mené à bien les tâches ménagères qui m’incombent (bah, toutes vu ma situation).
Après avoir déjeuné frugalement d’un pavé de bœuf/haricots verts/dosette de riz/sauce roquefort, le tout suivi d’un yaourt et d’un thé (quand je vous dit que je fais attention à ma ligne! Bon, je ne vous raconte pas ce que je me suis « mis » le soir, après être mort de faim sur les coups de 17:30 et le dimanche soir (j'ai craqué)), je suis allé au ciné.

Ce qui ne m’était pas arrivé depuis plus d’un an et demi.
Et ou-ais. Je sais, je suis complètement cinema freak !
Le dernier film que j’étais allé voir, c’était Hangover ! Qui nous avait donné l’idée d’aller faire l’enterrement de vie de garçon d’un pote à Vegas. Yeah baby !

Faut dire que quand tu habites le fin fond de la banlieue, que ton boulot te prend pas mal de temps, que le frigo n’est qu’à quelques mètres de la télé, que depuis que tu t’es fait opéré des yeux, ta vision n’est pas toujours au top, et bah, tu mates des divx et autres séries en streaming. Dernière découverte en date, Mr Sunshine avec Matthew Perry alias Mister Bing !

Vous pourriez me rétorquer que le week-end, j’ai que ça à foutre d’aller au ciné.
Je vous répondrai : « Certes ».
Mais il faut aussi que je fasse ma sieste. Car la nuit, on ne peut pas dire que je dorme du sommeil du juste. Surtout après 4 :30.

Cependant, au bout de quelques mois, j’ai enfin réussi à faire l’effort de me bouger le fion.
Je progresse, nan ? Bon, c’est plus facile quand tu es sur Paris et puis, au boulot, je fous plus grand-chose, manque de motivation.

Il y a quelques semaines, en regardant Denisot, il y avait Colin Firth. Qui présentait le discours d’un roi. L’extrait m’avait donné envie d’aller le voir et de me bouger enfin le derrière.
Je voulais y aller en rentrant du boulot le soir, mais pas évident, même en quittant tôt, vu que je bosse loin en banlieue. J’y suis cependant arrivé après plusieurs semaines de tergiversations. Un samedi sans sieste et par temps pourri.

Je suis donc allé voir le discours d’un roi, en V.O. dans un ciné cité.
Comme pour tous les films portés au nu, j’ai été un peu déçu.
Je ne m’attendais pas à un découpage du film tel que présenté.
Je pensais qu’on verrait plus le travail avec le « docteur ».
Et je n’ai pas trouvé le discours final transcendant dans le ton.
Je suis conscient des efforts à fournir et fournis par le vrai George VI pour dépasser son « handicap ». Mais je suis resté un peu sur ma fin.
Film tout de même agréable dans l’ensemble.

Toujours étrange de voir les relations royauté/peuple.
Je ne sais pas si c’est le fait d’être français et plutôt blasé de la vie et de la politique mais j’ai du mal à concevoir d’appeler quelqu’un « votre altesse » et surtout devoir faire une petite courbette. On est tous sortis d’un trou semblable !
Même si je suis, probablement comme tout un chacun, plutôt « intimidé » quand je croise des gens dits « importants ».
Quel étrange objet que le cerveau humain.

Sympa de retourner dans un ciné. Les previews qui donnent envie de voir d’autres films, le grand écran, les réactions du public pendant le film…
Je n’ai pas fait la queue pour mon billet grâce aux bornes, alors qu’avec le temps et les vacances scolaires il y avait beaucoup de monde,  j’étais bien placé dans la salle (plus simple quand on est 1), c’est à 20 min. de chez moi.

Bref, à refaire.  

Last night me tentait bien. Du coup, mardi soir, hop, un petit ciné des familles avec notre Guillaume Canet national.
Quel choix cornélien pour l'acteur Sam Worthington. Choisir entre Keira et Eva.
Moi, juste une des deux me suffirait.
Le film est assez intimiste. Peu de dialogues, une ambiance à la Lost in translation, musique sympa. Par contre, le fond du film est un peu cliché. Et je n'aime pas trop la fin. La salle n'ont plus d'ailleurs. Mais « c'est la vie »...

Faudrait aussi que je me fasse enfin le musée d’Orsay.

Et qu’il fasse beau pour que je me ballade dans Paris avec mon appareil photo.

Au plaisir.

xXx

PS : pendant ce post, votre hôte écoutait :

Le jour où la diplomatie française est descendue encore plus bas qu'il était imaginable

Comme dirait mon nouvel ami le Pipotron, ce générateur de phrases qui peuvent sembler  vouloir dire quelque chose mais en fait nan : « Dans la morosité contextuelle, on ne peut se passer de gérer les principales ouvertures emblématiques parce que la nature a horreur du vide ».

Et avec nos hommes politiques et autres diplomates, de la morosité contextuelle, il y en a !
Comme avec l’ancien ambassadeur d’Irak devenu emblématique ambassadeur de Tunisie, sachant aussi bien garder sa langue dans sa poche à propos de Kadhafi que de gérer les relations franco-tunisiennes déjà fragiles.
Quand je vois ses différentes déclarations, je me dis qu’effectivement, il semble avoir un lien de parenté avec la « b0g0ssitude » !
Comment un mec comme ça a pu devenir ambassadeur, même s’ils ne servent plus à grand chose aujourd’hui ? Ah, on me souffle dans l'oreillette qu'il est pote avec Nic0 et qu'il est même Chevalier de la Légion d'Honneur depuis la fin de l'année dernière !
Autant je n’aime pas De Villepin, autant il incarnait (incarne) quand même une autre image de la France et de la diplomatie.

A cela s’ajoute nos ministres qui échangent leurs postes pour ne pas que Mam se retrouve en Tunisie mais aille plutôt jouer les VIP au Brésil (là, on peut être sur que nos Rafales, ils n’en voudront plus !).
Je serais les brésiliens, je demanderais à Sark0 quel prisonnier ils n’ont pas voulu libérer pour mériter une visite de Mam !
Pour peu qu’elle y soit allé pour vendre des matraques et du gaz lacrymo !

Heureusement qu’en France, pour oublier tous ses couacs, on a le salon de l’Agriculture, Chirac superstar et l’abus d’alcool !

Et pour commémorer l’Abbé Pierre et les problèmes de logement, en France, une petite vidéo !

Ou plus glamour, la dernière pub d'une nana lambda.



Au plaisir.

xXx

Le jour où j’en ai voulu à un fournisseur de télécommunications au logo orangé


Attention, cet article contient des articles de lois !

Depuis un an, j’étais client téléphonie chez un opérateur français au logo orangé. Je m’étais fait refilé un smartphone très très pourri (mais presque gratuit).
En emménageant en novembre dernier, j’ai aussi découvert que mon immeuble était mal couvert par cet opérateur alors qu’avec d’autres opérateurs tout allait bien.
Profitant de la hausse de la TVA annoncée dans un courrier en décembre et  l’article L 121 – 84 du code de la consommation, j’ai résilié mon abonnement alors que j’étais engagé pour 24 mois.
L’opérateur a accusé réception sans mentionner de frais.

J’ai changé d’opérateur, je capte, j’ai un super smartphone et j’ai gardé mon numéro. Par contre, comme pour le téléphone précédent, je ne me sers pas de la fonction téléphone !

Tout allait bien jusqu’à vendredi soir. En rentrant fatigué du travail (c’est pourtant pas pour ce que j’y ai fait), un courrier de mon ancien opérateur. Etrange.
Et là, paf, une jolie facture de 90€ de frais de résiliation, prélevée le jour même alors que l’opérateur aurait du me prévenir au moins 5 jours ouvrés au préalable.
J’étais assez furax. Je le suis toujours. Je ne sais pas trop pourquoi, car au pire, en application de l’article L 133-24 du code monétaire et financier, j’ai 13 mois pour faire opposition. Probablement au prix de quelques euros.
J’ai en quand même marre qu’on nous prenne pour des gogos. En plus, l’explication simple et réaliste et que leur système informatique ne gère pas les changements des termes de contrat et travaille automatiquement.
Mais ça leur arracherait la gueule de bloquer la facture ???
Je me suis donc fendu d’un courrier pour me faire rembourser. Et dans un mois, si je n’ai pas été remboursé, paf, opposition sur le prélèvement.

Ce fait est aussi symptomatique de la manière dont je fonctionne.
Je suis angoissé par la vie (c’est pour ça que je peux bouffer en quantité astronomique et bouffer de la merde, l’angoisse étant un excellent amaigrissant).
Je m’emporte (contre moi-même ou les objets) assez facilement. Ce qui est dur pour mes voisins de bureaux qui doivent supporter à longueur de temps les « putain », « fais chier », « bordel de merde » et autres expressions sympatoches.
Idem quand je considère qu’on me prend pour un con.
Un mec qui, s’il n’est pas occupé, se retrouve mobilisé à 100% pour des trucs à la con : mettre sa carte vitale à jour, passer acheter une boite de thon, réserver un hôtel ou un billet d’avion.

Par contre, je suis assez lâche envers les êtres humains.

Tous ces points font que I am who I am. Un mec plutôt seul, angoissé/accaparé par le fait d’être en couple (au sens « l’autre » occupe tout mon esprit ) et encore plus flippé d’avoir des mômes (mais ça n’arrivera pas vu que je suis incapable/pas si intéressé que ça à être avec quelqu’un). C’est grave doc’ ?

Et remboursez moi mes 90 € bordel de cul !

Au plaisir.

xXx

Le jour où je me suis rendu compte que je n’étais pas drôle


Bon, au départ, je devais faire un blog avec plein d'humour, me permettant de faire éclater à la face du monde mon talent d'écrivain et de comique.
Au bon d'une semaine, force est de constater que le ton pris par ce blog est loin de l'humour.

Pour un mec qui se veut drôle et qui lit actuellement le dernier Werber sur le thème de l'humour et des blagues...
D'ailleurs ce dernier Werber, il est un peu longuet.
Je ne sais pas si mon sens de la critique s'est aiguisé mais je trouve que le dernier Houellebecq était dans le même cas. Histoire qui démarre bien et au bout d'un moment, on perd un peu le fil, il y a des longueurs...
Pour le Werber, je ne vois pas non plus trop l'intérêt de citer à tout bout de champs des blagues et des blagues. Pour certaines depuis longtemps éculées.

Cependant, une m'a bien fait sourire. Une très longue, soyez patients !
Attention, ce blog devient drôle (ou pas) :
 «Ce sont trois types qui arrivent au Paradis. Ils sont accueillis par saint Pierre, qui est étonné de les voir à ce point abîmés.
- Que vous est-il arrivé pour que vous soyez dans cet état ? demande-t il.
Alors le premier répond :
-Voilà ce qui est arrivé. Je me doutais que ma femme me trompait alors je suis rentré plus tôt du travail. J’ai ouvert la porte et j’ai surgi dans la chambre. Là j’ai trouvé ma femme nue dans le lit. Alors j’ai hurlé que je voulais savoir où se cachait le foutu salopard qui se tapait ma femme dans l’après-midi. Elle n’a pas voulu parler, j’ai cherché partout. Finalement, je me suis aperçu que depuis le salon on voyait le balcon et que sur le balcon il y avait un type accroché.
Je suis allé voir. On habite au 7e étage. Et j’ai vu un bonhomme suspendu dans le vide se retenant juste par les mains. J’ai essayé de lui faire lâcher prise, il beuglait des trucs que je ne comprenais pas. De tout façon, je ne suis pas arrivé à lui faire lâcher prise, alors je suis allé dans la cuisine chercher un marteau et je lui ai tapé sur les mains jusqu’à ce qu’il lâche. Je me suis penché pour voir sa chute, mais ce type, avec une chance incroyable, a rebondi sur le store du fleuriste juste en bas de notre immeuble et il est arrivé intact en bas. Alors de rage, je suis allé dans la cuisine et j’ai soulevé le réfrigérateur. Puis je me suis mis au balcon et j’ai visé. J’ai lancé le réfrigérateur sur lui et là cette fois je suis arrivé à le pulvériser.
-Ah, dit saint Pierre, mais c’est vous qui êtes abîmé, comment ça se fait ?
- Eh bien, j’ai mal estimé le poids du réfrigérateur, du coup en le lançant j’ai été emporté et j’ai basculé par-dessus le balcon. J’ai chuté moi aussi mais je n’ai pas eu la chance de tomber sur le store du fleuriste alors je me suis écrasé en bas comme une crêpe.
- Très bien, et vous ? demande-t-il au deuxième.
- Oh, moi j’avais repéré que mon balcon était attaqué par la rouille. Alors j’ai décidé de le repeindre. Je me suis installé une planche avec deux crochets sur le côté pour pouvoir passer l’antirouille ; mais soudain un crochet a lâché, et j’ai pas eu le temps de me récupérer, que l’autre a lâché aussi. J’étais au 8e étage. Par chance j’ai pu me récupérer au balcon de l’étage en dessous. Mais alors que j’essayais de remonter, un type arrive. Je pensais qu’il allait m’aider, mais non, il me tape sur les mains pour me faire lâcher. Je m’agrippe, crie, du coup il renonce et s’en va. Je pense qu’il part chercher une corde pour m’aider, mais non, c’est un fou, il revient avec un marteau et me tape sur les doigts. Ca faisait très mal et j’ai fini par lâcher. Mais par chance ma chute a été amortie par le store du fleuriste en dessous. Je me remets à peine de mes émotions qu’en relevant la tête je vois arriver à toute vitesse sur moi un réfrigérateur.
- Ah, je comprends. Et vous ? demande-t-il au troisième type.
- Et bien moi j’étais l’amant, quand j’ai entendu le mari arriver je me suis caché dans le réfrigérateur. Ensuite j’ai attendu. Et puis soudain j’ai eu l’impression que le réfrigérateur s’envolait et puis je n’ai rien compris. »,Blague GLH, le rire du Cyclope, Bernard Werber

Je sais pas si c’est parce que je l’ai recopié, mais je la trouve plus drôle !

Le fait que ce blog ne soit pas drôle vient peut être du fait que, dans le fonds, je n'ai pas grand chose à vous raconter, pas de situations à mettre en scène.
Pas de copine, pas d'enfants, pas d'animal de compagnie (mes ficus ne comptent pas et ils dépérissent de jour en jour). Tiens, petite video sympa sur les animaux de compagnie.

Pas de hobby, pas de sport, pas d'association, pas des masses de sorties.
Pas de problème particulier type maladie ou chômage.
Bref, ma vie est un long fleuve tranquille.

Du coup, pour meubler, hop, petite citation du jour :
"Le temps perdu ne se rattrape jamais. - Alors, continuons de ne rien faire." Mark Twain

To be continued.

Au plaisir.

xXx

Le jour où j’ai testé les nuits parisiennes

En janvier/février 2011, j’ai testé un peu plus avant les « nuits parisiennes », maintenant que je suis parisien.
J’ai donc picolé/mangé/picolé avant de commencer réellement ma nuit à la fermeture des bars et ce jusqu’à pas d’heure. L’avantage, c’est qu’en sortant au petit matin, hop, on peut rentrer en métro. J’ai glandé encore un peu chez moi avant de dormir quelques heures et de me transformer en larve pour le reste de la journée, en faisant la sieste par intermittence.

Bilan :
1/ Sortir à 17 :30 (oui, on a tendance à sortir tôt et il y avait rugby, match de l’équipe de France, le jour où j’ai croisé mon « amie » d’enfance) pour rentrer/se coucher à 7 :00 du mat’, ça coute cher !
2/ On prend du poids (grosse bouffe et dose importante d’alcool).
3/ L’organisme a un peu de mal avec le concept je me réveille à 6 :30 la semaine et je me couche à 7 :00 le week-end.
4/ Il faut empêcher ses potes de se faire écraser/casser la gueule car ils picolent depuis un bail. Et cela m’incombe car j’ai le plaisir (enfin, c’est ironique parfois et pis ça coute cher) de bien tenir l’alcool. Mon corps élimine l’alcool comme les aliments c'est-à-dire plutôt pas mal. Du coup, il faudrait vraiment que je fasse du binge drinking pour ne pas être bien.
Attention, je ne suis pas à zéro gramme non plus. Mais je gère, je suis conscient de mon environnement, je n’ai pas de trou de mémoire, je ne m’effondre pas dans un coin (enfin parfois je dors mais c’est plus parce que je suis fatigué de ma semaine qu’à cause de l’alcool). Au contraire, j’ai un ou deux potes qui sont facilement ailleurs, qui sont facilement agressifs ou qui oublient facilement.
5/ Il faut gérer les gens alcoolisés autour de soi.
6/ Il se passe des trucs un peu glauque un peu partout du fait de l’alcool, la faible population dans les rues…
7/ On a quand même passé de bons moments.

C’était marrant à faire un petit peu mais ça ne deviendra pas mon mode de vie. Trop de points négatifs.
Surtout que je tente de faire attention à ma ligne pour mes vacances (enfin, c’est un régime à ma façon, qui consiste essentiellement à enlever les frites, à éviter le saucisson en plus de la charcuterie et à ne plus prendre des portions de fromage de 100g au diner. Cette semaine j'ai tenu. Pour zéro résultat mais j'ai encore trois semaine devant moi).

Défi de ce week-end : limiter ma consommation d’alcool.

Bon week-end.

Au plaisir.

xXx

Le jour où j’ai décidé d’abandonner ma voiture

Attention, post pour kékés, blaireaux aimant le tuning et les jantes alu. Enfin, à un degré moindre.

Depuis toujours, comme la plupart des mecs, je suis « fasciné » par les voitures.
Petit, j’en voulais à mes parents de rouler en GS Citr0ën ou autre Fiat Un0 alors que mes petits camarades voyageaient en R25 ou en 405 Mi16.
Au collège/lycée, avec les copains on s’amusait à reconnaître les modèles de loin dans la rue.
J’ai bien sûr suivi l’émission de télé sur la sixième le samedi soir, rediffusée le dimanche matin et dédiée à nos amis à quatre roues.
J'ai déjà mis les pieds au mondial de l'auto.

Une fois bien adulte, mes amis « fans »  de voiture se sont mis à acheter des voitures "sport", à faire des kilomètres, du circuit… Attention, des vraies voitures de sport, de série, pas du tuning où tu rajoutes 600 kg sur une Clio d'entrée de gamme et un pot gros comme le réacteur d'un avion !
Je les ai parfois accompagnés en spectateur, co-pilote et j’ai passé de très bons moments (surtout les restaurants et les soirées).
Du coup, quand j’ai changé de voiture il y a 3 ans, j’ai pris une voiture allemande de taille moyenne (pas une lup0),  confortable mais en modèle un peu sport.
J’adorais venir bosser en voiture, faire une petite pointe de temps en temps, goûter à la vitesse sur les autoroutes allemandes, goûter à la conduite sur circuit (une fois en P0rsch3, une fois avec ma propre voiture).

Ai-je vieilli, ai-je grandi ?
Le goût des voitures et de la vitesse est passé.
Il s’avère que les voitures « sport », c’est vraiment cher pour l’utilisation qu’on peut en faire. Ce n’est pas pratique pour charger des meubles IKEA. On se fait contrôler aux péages (enfin, pas moi). Du coup, je réfléchissais, au prochain changement, à prendre une petite voiture passe-partout pépère.

De plus, je suis maintenant parisien. Je sors en métro et je vais au bureau par les transports en commun. Du coup, je prends ma voiture une fois tous les 36 du mois, je paie un parking, une assurance assez cher vu la « bête ». Du coup, je songe sérieusement à revendre Titine.
Problème : je ne suis pas d’un caractère à acheter/vendre des trucs d’occasion. Je me méfie de tout et de tout le monde. Je ne fais pas confiance à grand monde et j’ai une vision du monde assez noire et pessimiste. Difficile dans ces conditions de faire les démarches pour vendre sa voiture.
Et avoir une voiture à disposition, c’est pratique quand on décide sur un coup de tête de partir en week-end, d’aller voir le petit neveu en Normandie, ou le pater en banlieue.

Un évènement a accéléré le cheminement de mon esprit. Cependant Titine dort toujours au 2e sous-sol.
Il y a deux semaines, un de mes potes possédant une voiture très sport mais très discrète, qui gare sa voiture dans la rue, se l’est faite piqué alors qu’il en descendait (il s'est fait un peu molesté pour donner ses clés et toute sa vie était dans la voiture).
Pas glop du tout. Ca vous refroidit. Tout ça dans une banlieue très calme et plutôt bobo. Un point négatif de plus. Dans quelques jours, ça voiture va être considérée comme définitivement perdue, il va toucher l’assurance et devra trouver une nouvelle voiture, vu qu’il travaille à 50 km de chez lui dans une banlieue mal desservie par les transports. Il se pourrait donc qu’il soit intéressé par Titine. Et moi je serai du coup intéressé à lui céder.

Après réflexion, je pourrais toujours louer une voiture les rares fois où j’en aurai besoin. Deviendrai-je un vrai parisien ? Murirai-je ?

A suivre…

Au plaisir.

xXx


Le jour où mon fantasme d’enfance a disparu

Petit, j’allais à l’école avec un certain nombre de voisines.
Au collège, nous avons ensuite fait le chemin jusqu’à l’arrêt de bus ensemble (aller-retour).

Parmi ces voisines, Britney (son prénom a été changé pour conserver son anonymat).
Physique calqué sur celui de son père c’est-à-dire plutôt costaud avec un visage en arrondis, surtout au primaire.  Au collège, jusqu’à la troisième, comme les filles étaient plus grande que les garçons et grandissaient à vue d’œil, Britney s’est affinée petit à petit !

Le fait de faire le trajet avec ses filles me comblait de joie.
J’avais 3-4 filles pour moi tout seul, loin des groupes de garçons qui tournaient autour.
Parmi ces filles j’appréciai donc particulièrement Britney.
25 ans après, je me dis qu’à l’époque, elle m’aimait bien.
L’espoir fait vivre il parait. Et ne plus avoir d’espoir c’est accepter de mourir.

Il faudra aussi que je vous raconte le jour où j’ai décidé que je mourrai jeune (tout est relatif) et seul.

Britney depuis le primaire faisait partie du clan des filles populaires et plutôt mignonnes (l’un étant le corollaire de l’autre).
Moi, celui des mecs non sportifs et surtout pas footeux, un peu gras et maladroit avec les filles.
Je m’accrochais comme tout loser aux basques des footeux bien foutus et surs d’eux et fréquentait donc le groupe. Mais je n’avais aucune chance de conclure, le savait et ma timidité naturelle envers l’autre sexe m’en aurait de tout façon empêcher. Ainsi, en quatrième, lors d’un voyage en Allemagne, je faisais une maquette dans un coin pendant qu’un des gars populaire trainait dans la même chambre avec 2-3 filles du groupe. La loose totale.

Au lycée, toutes ces dames sont devenues plus femmes et  Britney est devenue très mignonne. Pour ne rien gâcher, elle n’était pas non plus parmi les « greluches » sans cervelle. J’étais cependant plutôt amoureux d’une fille de ma classe en première et terminale car je n’étais alors plus dans la classe de Britney.

Avec Britney, on a suivi des voies différentes et je ne l’ai plus vraiment revue pendant des années.
Je l’ai croisé de loin de temps à autre tant que nous étions encore voisins.

Je ne sais pas trop pourquoi, mais de façon récurrente, Britney au fil des ans est venue hanter certaines de mes nuits. Une Britney adulte toute mimi. Et je ne rêvais pas qu’on faisait une belote. Pourquoi Britney parmi les différentes filles du groupe ? Au nom des moments passés ensemble entre l’arrêt de bus et la maison au collège ?

Je l’ai recroisé une fois ou deux fois au fil des ans. Avant de faire ces rêves (attention, ce n’était pas toutes les nuits, plutôt une fois tous les deux-trois ans (time flies)…).
Une fois vers mes 20 ans, elle bossait dans le même centre commercial que moi.
J’avais du la croiser beaucoup plus tard dans les transports avec son mec.
Il y a deux ans, peu de temps après avoir rêvé de Britney, de ces rêves qui semblent tellement réels, sur faceb00k, une nana du groupe école maternelle/primaire/collège/lycée a repris brièvement contact avec moi et m’a appris que Britney se mariait. J’ai encore rêvé une fois de Britney depuis.

Et il y a 10 jours, le choc.
Depuis 6 mois, avec les coupaings, on fréquente un bar/restaurant.
Il y a 10 jours donc, il s’est avéré qu’un des piliers de bar qui était là tous les soirs et week-ends (oui, on peut donc me caser dans les piliers de bar, mais je vais me soigner) est en fait le mari de Britney. Un pilier de bar au crâne rasé qui ne ressemble à rien.
Comment je l’ai su ? Et bien Britney semble habiter dans le coin, être une habituée (elle venait jusque là peut être quand on n’y était pas, telle le loup) et elle est venue passer la soirée avec son cher et tendre et leur gamin de un an et demi (par comparaison avec mon propre neveu).
Je pense qu’elle m’a reconnu mais on s’est superbement ignorés (timidité/connerie, quand tu nous tiens). Elle est toujours mimi mais a le regard assez vide (elle l’avait déjà la dernière fois que je l’avais croisé il y a des années) et c’est important le regard ! Le fait de devoir s’occuper de son fils, plutôt seul (si on en juge par la présence du mari au bar) est bien sûr facteur de fatigue donc de regard un peu vague.
Je crois que la voir là (je l’ai revu dimanche dernier dans le bar à l’occasion du match Irlande/France), dans un bar, avec son fils et un mari qui ne semble pas très intéressant va fortement contribuer au fait qu’elle ne revienne pas hanter mes nuits.

On se rapproche donc de plus en plus du désespoir et de la mort :)

Au plaisir.

xXx

Le jour où j’ai découvert Mark Twain

Comme promis, des extraits du bouquin « La liberté de parole » de Mark Twain. C’est un recueil de différents textes extraits de The complete essays of Mark Twain.

Dans un des textes, Conseil à la jeunesse, publié en 1882, Twain donne quelques conseils avisés.

« Soyez respectueux vis-à-vis de vos supérieurs, si vous en avez, ainsi que des étrangers et parfois d'autrui. »
Pour enchaîner directement sur :
« Si une personne vous offense et que vous vous demandez si c'était intentionnel ou non, ne recourez pas à des mesures extrêmes ; contentez vous d'attendre le bon moment, et frappez-le  avec une brique. Cela devrait suffire. Si vous finissez par découvrir qu'il n'avait pas l'intention de vous offenser, présentez vous spontanément et avouez votre erreur quand vous l'avez frappé. Faites amende honorable comme un homme, et dites que vous ne vouliez pas faire cela. Oui, évitez toujours la violence. »

Plus loin dans le même texte.
 « Couchez-vous tôt, levez-vous tôt - c'est sage. Certaines autorités disent de se lever avec le soleil ; d'autres disent de se lever avec telle chose, d'autres avec une autre. Mais le mieux est vraiment de se lever avec l'alouette. Cela vous donne une formidable réputation de savoir que vous vous levez avec l'alouette, et si vous trouvez la bonne sorte d'alouette, et que vous l'entraînez bien, vous pourrez facilement lui apprendre à se lever à 9 heures et demi, chaque fois - ce n'est pas un tour de passe-passe. »

Un des thèmes récurrents du livre et des textes de Mark Twain est que la liberté de parole n’existe en fait pas et que du coup, il n’est pas dans l’intérêt des gens d’avoir une opinion propre.
Ainsi, dans le privilège de la tombe, publié en 1905 :
 « la liberté de paroles et le privilège et le monopole des morts. Ils peuvent exprimer honnêtement ce qu'ils pensent sans que cela offense. (...)
S'ils pouvaient parler, quelles révélations ils feraient ! Car on découvrirait que, en matière de convictions, aucune personne défunte n'est exactement ce pour quoi elle a passé de son vivant. Que ce soit par peur, par calcul prémédité ou par refus des blesser des amis, le défunt a longtemps gardé par-devers soi certains points de vue que son entourage était loin d'imaginer, et il les a emportés avec lui dans la tombe. Du coup, les vivants réaliseraient, effarés et coupables, qu'eux aussi sont à mettre dans le même panier. Ils se rendraient totalement compte qu'eux, et les nations tout entières, ne sont pas vraiment ce qu'ils semblent être - et qu'ils ne pourront jamais l'être. (...) La liberté de parole est une chose enviable. »

Enfin, dans les opinions de la galette de maïs, publié en 1901, développe le fait qu’étant un animal profondément social et recherchant l’approbation d’autrui, il se conforme au comportement de la masse.
 « L'estime de soi s'acquiert principalement grâce à l'estime des autres. Le résultat est la conformité. Parfois, la conformité a un intérêt affairiste sordide - l'intérêt du pain et du beurre - mais ce n'est pas la majorité des cas, selon moi. Je crois que, dans la majorité des cas, c'est inconscient et que ce n'est pas calculé, qu'elle naît du désir naturel de l'être humain d'être bien avec ses semblables et d'obtenir leur estime et leurs éloges si stimulants - un désir qui est d'ordinaire si fort et si impérieux qu'on ne saurait efficacement y résister et qu'il doit pouvoir s'imposer.
(...) La variété sentimentale [c'est] celle qui ne peut supporter d'être à l'index, d'être en disgrâce et ne peut accepter qu'on se détourne d'elle et qu'on lui batte froid, qui veut entendre ces paroles précieuses : "Il est sur les bons rails !". Prononcées, peut être, par un imbécile, mais un imbécile de haut rang, un imbécile dont l'estime vaut de l'or et des diamants pour un imbécile inférieur, et confère gloire, honneur, bonheur et entrée dans le troupeau. »
Tellement vrai, surtout dans le milieu professionnel.

Cette minute culturelle et littéraire vous a été offerte par Me, myself and I !

« De bons amis, de bons livres et la conscience somnolente, voilà le secret du bonheur ».
Mark Twain

Bonne soirée.

Au plaisir.

xXx

"Sois fort Bobby, sois fort !"

Mercredi, 16:37

Trop fier de myself. J'ai resisté au chips, j'ai résisté aux bonbons harib0, ce midi, j'ai pris une paupiette de saumon et pas de frites. Move forward, move forward John !

Gros plantage des mails et du réseau au bureau. Du coup, avec ce beau temps, moi qui n'avait déjà pas envie de bosser !


« -Tu travailles? - J'essaie de travailler: c'est bien plus difficile. »
Journal, 29 janvier 1898, Jules Renard

Au plaisir.

xXx

Le jour où je me suis remis à lire


Mardi, 20 :03

Au boulot, ils osent me faire bosser, moi, une honte. Je vous raconterai un de ces quatre le jour où j’ai décidé de poser ma dem’. Qui n’est toujours pas posée. D’abord les vacances (dans un mois) !

Bon par rapport au post d’hier, j’ai mis du vin dans mon eau. Trop de bouffe dans mon frigo. Je ne peux pas tout arrêter d’un coup. On va diminuer les doses et y aller progressivement. Mais je vais faire plus attention. Promis. Particulièrement le midi (du fait du boulot, j’ai mangé sandwich deux jours de suite donc pour les frites, j’en ai forcément pas pris. Et je n’ai pas pris de dessert avec mon sandwich. Trop fier !).

Ce soir, le thème, mon retour aux bouquins.
Dans ma jeunesse, j’étais très BD. Une fois que j’ai eu lu 6 BD par semaine (je n’avais pas le droit a plus à la bibliothèque) pendant plusieurs années, je suis passé plus massivement aux bouquins. Plus de cinquante bouquins par an.

Dans ma période étudiant, début de vie professionnelle, pour des raisons de traumatismes personnels j’étais assez renfermé et je passais le plus clair de mon temps libre à lire. Romans, thrillers, policiers, S.F., fantasy… Bouquins de 500-1000 pages. En plusieurs tomes. Tous les bouquins d’un auteur : Clancy, Connelly, George, Maupin, Hobb…

J’ai acheté une télé, pris un abonnement ADSL et tout à changé. J’ai grandi sans télé. D’où un certain goût de la lecture qui s’est développé. La télé, c’est la facilité. On se couche dans le canapé et on zappe, on zappe, on zappe. J’ai ces dernières années, zappé de plus en plus. Un immeuble bruyant a aussi contribué au fait que la télé soit massivement allumée alors que j’aime que la lecture se fasse dans le calme. Avec les séries US en dévédé, streaming, bouquet de chaînes, je me suis mis à suivre toutes les séries, qui me permettait, comme les livres précédemment, de vivre avec mes héros préférés : Ted, Barney, Chuck, Sheldon, Leonard, Hank, Gibbs, Tony, Callen, Hetty, Meredith, House et tous les autres.

Au final, j’ai fini par lire 4-5 bouquins par an.
Mi-novembre, j’ai déménagé.
Immeuble plus calme et passage du mode de transport voiture (faudra aussi que je vous raconte le jour où j’ai décidé de vendre ma voiture (pas vendue)) aux transports en commun.
J’ai 30-40 minutes de RER tous les matins sans changement. Le soir, je vis accroché à mon boss qui n’a d’autres choix que de me ramener.

Du coup, je me suis remis à lire. Une dizaine de bouquins en 3 mois (liste dans la colonne de droite. Si tu veux la critique d’un bouquin, demande !). Quasiment un bouquin par semaine. Là, je lis le dernier Werber. Il est costaud, du coup, ça me prend plus d’une semaine.
Le matin, dans le RER, je suis dans ma bulle. Je rentre avec mon mp3 sur les oreilles, je m’assois, j’ouvre mon bouquin et je me plonge dans le roman. Je vis l’histoire. Tu me mettrais Charlize Theron en face de moi, il y a des chances que je ne la calcule pas.
Du coup, le trajet passe vite, je prends plaisir à me plonger dans une histoire, mon vocabulaire dépasse à nouveau 100 mots, des mots de plus de deux syllabes et ça change des commentaires faceb00k « kikou lol », « mdr » et autre « xptdr ».

A noël, je me suis fait offrir plein de bouquins. Un bouquin en entraînant un autre, j’en ai racheté, j’ai des références d’avance, je découvre certains auteurs, comme Mark Twain.
Je ne connaissais pas. J’ai vu la sortie d’un petit opuscule « la liberté de parole ». Comme je trouvais le thème sympa, je l’ai lu. Il y a des références à Huckleberry Finn qui font que le bouquin ne serait pas simplement la ballade d’un gars au bord du Mississipi mais aborderait des thèmes plus profonds et toujours un second degré (qui me fait penser à Jules Renard dont il faudrait que j’acquière le journal).
Dans le prochain post, je citerai quelques passages du bouquin sur la liberté de paroles.

Bref, je reprend plaisir à lire.

Bonne soirée.

Au plaisir.

xXx

Le jour où j’ai décidé d’améliorer mon hygiène alimentaire


Lundi, 17 :37

Grande résolution.
Pour rentrer dans mon maillot de bain et mettre toutes les chances de mon côté pour attirer la galinette (cendrée ?) quand je partirai avé les coupaings au soleil en mars, mais surtout parce que mon bide a explosé ce week-end, j’ai décidé d’améliorer mon hygiène alimentaire.

Physiquement, depuis des années, je ne ressemble à rien. Une espèce de machin cambré avec un gros cul.  Le fait d’être cambré est probablement dû au fait que je ne puisse dormir que sur le ventre.
Par moment, il y a aussi un peu de bide (dans la famille on prend que dans le cul et le bide). Pour le reste, physique assez maigre même si j’ai pris 10 kilo en 15 ans. Oui, avant, je faisais encore plus peur.

La nature est cependant sympa avec moi. Si je ne ressemble à rien, je peux au moins bouffer tout ce que je veux : chips, saucisson, fromage, chocolat, bonbons haribo, alcool, restau, frites, McDo…
Comme je n’ai aucune volonté, je passe le plus clair de mon temps à manger.
Ces derniers temps, le week-end c’est alcool (dont bières)/fromage/charcut’/gâteaux apéro et la semaine ne se différencie du week-end que par une certaine absence d’alcool.
Le midi, c’est steak/frites.
Samedi soir, j’ai invité quelques amis à une soirée apéro/charcut’/fromage.
Hier, avec le pote qui est resté, on a continue les restes (il m’en reste plein mon frigo, si tu veux passer…).
Samedi soir, en me couchant, j’ai cru que mon estomac allait se répandre dans le lit tellement j’avais abusé. Hier après-midi, c’était à peu près le même topo.

Du coup, bim, résolution de la nuit (oui, un jour je te raconterai la nuit où mon cerveau a décidé que le sommeil était superflu), pour éviter de décéder avant de partir en vacances, j’ai décidé de changer (temporairement, faut pas déconner non plus !).

Du coup, jusqu’aux vacances, je vais tenter de limiter les gâteaux apéro, la charcuterie et le fromage.
Problème : chez moi et dans mon frigo, les trois « aliments » susmentionnés sont présents en force.
Deuxième problème : je n’ai aucune volonté.
Il faudrait aussi que je limite l’alcool mais comme a dit Jules Renard (faut que j’achète son journal, je crois que je vais adorer ce gars et son humour) « A force de mettre de l'eau dans son vin, il n'y a plus de vin ».
A suivre.

Bonne soirée.

Au plaisir.

xXx